Trouver l’Eglise du Christ: «Après beaucoup de tribulations» (Deuxième Partie)

Janice Le Tellier est une convertie à l’Église de Jésus-Christ des Saints des Derniers Jours. Elle réside en Arizona.

Les Missionnaires Mormons Apportent la Vérité

Peu de temps après cette deuxième réunion avec deux jeunes missionnaires mormons qui ont frappé à ma porte, j’ai ensuite décidé d’écouter leur histoire. Je savais instinctivement que je devais les écouter, mais j’étais sur la défensive parce que je me considérais comme une Chrétienne «orthodoxe», un défenseuse de la foi. (En fait, jusque-là je n’avais pas encore entendu quelque chose que je pensais valoir la peine d’être défendu!) Je ne m’attendais pas à ce que la vérité me soit livrée de cette façon. Mon emploi du temps était chargé avec notre famille grandissante, les études, les conférences, l’organisation et la participation à des réunions, des examens médicaux, l’enseignement de l’école du dimanche, etc., donc je manquais un peu de patience quant aux lecons avec le tableau de flanelle noire, puisque j’avais le désir anxieux de poser mes propres questions.

J’ai donc proposé aux missionnaires de me donner un livre qui expose les doctrines de leur église afin que je puisse le lire à ma convenance et plus rapidement que les leçons qui m’étaient présentées, et qu’ensuite nous devrions nous revoir dans six semaines pour en discuter. Ils m’ont donné une copie d’un livre intitulé : « Une merveilleuse oeuvre et un prodige » par LeGrand Richards. Ce livre m’a tellement fasciné que je l’ai lu immédiatement et, sans délai, j’ai senti le désir que les missionnaires reviennent chez moi et de la tristesse pour leur avoir proposé de ne les revoir qu’après six longues semaines.

La présentation scripturaire érudite, dans le livre, m’a ouvert l’esprit et a fait appel à ma curiosité intellectuelle, mais plus que cela, son contenu semblait me rappeler des choses que je sentais avoir, en quelque sorte, déjà connu autrefois. Bien que j’avais apprécié mon enfance et avait eu beaucoup de plaisir à l’école secondaire, j’avais rencontré des choses au collège avec lesquelles je n’étais pas en accord et j’avais senti que j’étais différente, même étrange à certains moments, par rapport à la majorité si souvent d’accord sur des idées que je n’acceptais pas. Le concept de la pré-existence m’a aidé à clarifier cette situation. Ce concept a été très intéressant pour moi. Très souvent, je m’étais promené dans la rue et avais senti que j’étais déjà passé par là auparavant, ou, lors d’une conversation, j’avais l’impression d’avoir déjà dit exactement les mêmes mots auparavant. J’avais rejeté l’idee de la réincarnation, la considérant comme un enseignement erroné.

Ma confusion quant à la façon dont Moïse aurait pu voir le Seigneur s’est apaisée grâce au livre que les missionnaires m’ont laissé. Le mariage éternel était acceptable pour moi, c’était quelque chose que j’avais supposé mais qui ne m’avait jamais été enseigné. (Je me suis souvenu que j’avais demandé à ma mère, tandis que nous décorions des tombes dans un cimetière, si la femme de mon grand-père serait avec lui dans le ciel.) L’idée de la dîme m’a aidé à surmonter les sentiments de culpabilité au sujet de la richesse (qui se trouvait au premier plan dans les esprits de tous les écoliers); si nous rendons Sa part au Seigneur, nous serons bénis. La Parole de Sagesse permettrait de résoudre beaucoup de problèmes dans le monde. Je me suis résolue à abandonner mon verre de vin très occasionnel, le tabagisme, le thé et, éventuellement, le café. Un week-end j’ai eu une grippe très grave et je n’ai plus jamais eu le désir de fumer une cigarette après cela. Un autre soir, mon mari a assisté à une fête dans un club réputé, connu pour son excellent service, et j’étais sur le point de prendre une tasse de café, car je n’étais pas convaincue que cette pratique soit nocive. Quand j’ai voulu prendre de la crème et du sucre comme je l’avais toujours fait, il n’y avait pas de crème ni de sucre, sur aucune des tables. Coïncidence? Non. Je savais que le Seigneur avait inclut le café dans sa liste d’interdits, et je m’en suis abstenu à partir de ce moment-là.

En 1951, après l’obtention de son diplôme de l’école de médecine, mon mari et moi avons fait un long voyage dans l’Ouest au cours duquel nous nous sommes arrêtés brièvement à Salt Lake City. Nous avons visité Temple Square, avons vu le Monument aux Mouettes, nous sommes entrés dans le Tabernacle, avons  demandé pourquoi nous ne pouvions pas entrer dans le Temple et avons reçu une brochure au sujet de Joseph Smith. Nous étions pressés, nous n’en avons pas vraiment appris davantage au sujet de l’Évangile, et pourtant je me souviens d’une réticence à quitter cet endroit paisible et de ma curiosité sur les termes : Saints des Derniers Jours. La fameuse brochure concernant Joseph Smith, reçue à cette occasion, est ré-apparue alors que je nettoyais mon grenier en 1962, en attendant que les missionnaires reviennent. Je l’ai lu et ai estimé que Joseph Smith avait dit la vérité. Imaginez, cela m’a pris onze ans pour trouver l’Évangile après y avoir déjà été exposée à Salt Lake, bien que c’était ce que je recherchais! Je n’ai pas du être suffisamment humble pour le recevoir plus tôt, ou bien j’étais terriblement distraite.

Enfin, les missionnaires sont revenus et je pouvais à peine attendre. Les missionnaire précédents ont été transférés fréquemment et je suis reconnaissante pour l’ensemble des missionnaires qui ont travaillé à m’enseigner sur une période de huit mois. Elder Newell Knight a fait une si forte impression spirituelle sur moi que, si j’avais eu peur de me fier à mon cœur pour me dire quoi faire, j’aurais probablement été baptisée immédiatement, mais les obligations terrestres faisaient constamment intrusion.

Lorsque les missionnaires m’ont mis au défi de lire le Livre de Mormon, je me suis souvenue, à mon éternelle honte, qu’une copie de celui-ci se trouvait dans un petit tiroir d’une table du salon. Elle m’avait été donnée par les anciens missionnaires, trois ans plus tôt, mais je n’y avait pas touché depuis! Ces premiers missionnaires avaient frappé à ma porte et j’avais voulu les laisser entrer, mais mon mari n’était pas à la maison alors je les ai rejeté. Dix minutes plus tard, mon mari est arrivé une heure plus tôt que d’habitude, et je lui ai dit que je serais intéressée d’entendre ce que ces jeunes gens avaient à dire. Il a regardé dans la rue et les appelé pour qu’ils reviennent.

Il les a invités à un brunch avec nous ce dimanche et à venir à l’église avec nous au préalable. Ils sont venus à notre service, ont placé une brochure dans le plat passé pour la collecte, et visiblement leur présence a dérangé notre pasteur lorsque nous les lui avons présenté à la sortie. Un autre ami est venu chez nous pour rencontrer les missionnaires, et nous avons discuté pendant quelques heures après le brunch. Nous avons probablement dirigé la conversation dans cette direction-là, mais je ne me souviens pas avoir abordé de la doctrine. Tout ce dont je me souviens, c’est qu’ils nous ont parlé des origines indiennes sur ce continent et d’un prophète vivant. Ce fut une autre rare occasion manquée, car mon mari a pris part à cette discussion.

Quand finalement, trois ans plus tard, jusque tard dans la soirée, j’ai lu le Livre de Mormon que ces premiers missionnaires avaient laissé, j’ai été littéralement transportée spirituellement. Je me sentais élevée par une luminosité autour de moi et dans mon esprit qui doit être vécue pour être comprise. J’avais envie de me faire baptiser et d’être vraiment l’une des disciples de Jésus. “… Etes-vous nés spirituellement de Dieu? Votre visage est-il empreint de son image? Avez-vous éprouvé ce grand changement dans votre cœur? » (Alma 5:14). (Vous êtes-vous dépouillés de votre orgueil? Suffisamment humble?) Ces passages m’ont poussé à me repentir.

Le capitaine Moroni, ayant vécu en l’an 70 ans av.J-C a été un grand missionnaire pour l’année 1962 ap.J-C. En lisant a son sujet, j’ai ressenti une grande joie du fait que mes activités en relation avec la défense de la liberté pour laquelle j’avais été si souvent décriée étaient confirmées. Je sentais qu’il combattait le même combat que nous. Mon coeur vibre chaque fois que je lis ces mots : « … Moroni fut en colère contre le gouvernement à cause de son indifférence à l’égard de la liberté de son pays » (Alma 59:13). Il en va de même pour moi, dans un contexte moderne! “Pouvez-vous envisager de siéger sur vos trônes dans un état de stupeur insensible, pendant que vos ennemis répandent l’oeuvre de mort autour de vous? Oui, pendant qu’ils assassinent des milliers de vos frères [et supposez] qu’à cause de l’extrême bonté de Dieu, vous pourriez ne rien faire et qu’il vous délivrerait? Voici, si vous avez pensé cela, vous avez pensez en vain » (Alma 60:7, 11).

Moroni a façonné le grand « Étendard de la Liberté » et l’a hissé sur chaque tour dans tout le pays et a invité le peuple à faire alliance qu’ils allaient « défendre leurs droits, et leur religion et que le Seigneur Dieu les bénirait » (Alma 46:20, 35-36).

«Et lorqu’il vit que le peuple était dans un état de méchanceté aussi terrible, et que ces brigands de Gadianton occupaient les sièges du jugement – avoir usurpé le pouvoir et l’autorité existant dans le pays, mettant de côté les commandements de Dieu et n’étant en aucune façon droits devant lui, ne faisant pas justice du tout aux enfants des hommes» (Helaman 7:4). Nous étions en train de revivre tout cela en 1962. Soudain, les choses ne me semblaient pas autant sans espoir.

Maintenant, j’avais, grâce à l’exemple de Moroni en tant qu’homme d’une compréhension parfaite, un témoignage du Christ vrai et vivant, de Dieu le Père, du Saint-Esprit et de l’importance de défendre la liberté; une combinaison que je considère toujours comme nécessaire pour avoir un témoignage complet. Tout cela, je l’acceptais; j’ai compris les fruits du travail de Joseph Smith bien que je les ai toujours connu. Pourtant, pour une certaine raison, j’avais encore du mal à accepter le fait que nous avons des prophètes modernes. Que l’esprit humain est incohérent!

Est-ce que l’incohérence en était la vraie raison, ou mon problème était-il que j’étais plus au courant, maintenant, de ce que cette décision capitale signifierait dans la vie de toute ma famille? Je crois que le mari est bel et bien le chef de famille, et je ne souhaite pas aller à son encontre ou ne plus être en harmonie avec lui. Mon mari et moi avions toujours tout fait ensemble, et maintenant je serais allée toute seule dans une église inconnue. Mon mari était un médecin respecté dans la communauté, et j’avais déjà mis le pieds dans une direction très impopulaire; mes convictions me poussaient maintenant à faire un autre déplacement  peu populaire.

Ces pensées ont suffi à me faire faire une pause, mais il y avait une autre frein immense : J’étais un peu inquiète que l’organisation de cette nouvelle église, comme celle de mon ancienne église, puisse être infiltrée par l’ennemi. Un missionnaire m’a apporté quelques discours donnés par Ezra Taft Benson du Conseil des Douze, un capitaine Moroni moderne. J’ai décidé de lui écrire pour savoir comment une patriote controversée serait acceptée dans l’Église; j’avais vraiment le désir d’adorer en paix, et j’avais besoin d’une base spirituelle pour fonctionner efficacement. Il m’a écrit une gentille lettre de bienvenue et m’a envoyé un livre : Rencontrer les Mormons. Depuis ce jours, j’ai lu tout ce qu’il a écrit, et je continue à être inspiré par ses mots. Je pense que ma citation préférée de ses mots est la suivante :

Notre réponse personnelle envers ce que nous faisons pour maintenir la liberté vivante aura des conséquences éternelles pour chaque âme, quel que soit le résultat, car le Seigneur a doté cette question de la liberté avec des répercussions éternelles qui trie les esprits des hommes dans le monde et qui semble être aujourd’hui la question centrale qui tamise ceux qui sont laissés dans le monde.

Amen à cela!

Alors que ces pensées et ces évènements grandissaient dans mon esprit, j’ai invité l’évêque de la paroisse locale à dîner, parce que je voulais rencontrer l’homme qui serait notre chef spirituel. Je n’étais pas du tout préparé à rencontrer ce merveilleux, dynamique, Saint des Derniers Jours allemand qui est venu dîner. J’ai appris plus tard que sa chère épouse a accouché de son quatrième enfant le soir même après son retour. Elle l’avait gracieusement envoyé en mission en dépit du fait qu’elle avait besoin de lui. Ces deux personnes merveilleuses, Rosie et Walter Kindt, sont toujours mes amis les plus chers et mon admiration pour la vie qu’ils mènent ne cesse de croître.

Les missionnaires m’ont dit que je n’avais pas assez prié pour savoir si Joseph Smith et ses successeurs étaient des prophètes modernes, de sorte que la nuit je me suis agenouillée à mon chevet et j’ai prié pour en avoir la confirmation. Là, j’ai eu ma première expérience d’être confronté à la puissance de Satan, qui ne voulait visiblement pas que ma prière soit exaucée. Tandis que je priais, j’ai ressenti de l’obscurité et j’ai aperçu une forme tenant un bâton noir avec des épines s’apprêtant à me frapper. J’avais extrêmement peur et me suis levée, j’ai allumé la lumière et j’ai continuer à prier, cette fois faisant face à la porte de ma chambre. Une fois de plus le Seigneur a gracieusement laissé Son Esprit me témoigner avec une grande puissance et lumière que les présidents de l’Église étaient et sont en effet ses prophètes. Plus tard, j’ai entendu le discours de Hugh B. Brown “Profil d’un prophète”, qui m’a confirmé, par la logique, ce que j’avais déjà reçu par l’Esprit.

J’ai assisté à un service de l’église SDJ et ai même été attirée par la puissance qui semblait rayonner du bâtiment lui-même. J’étais prête à être baptisée, après vingt-trois ans de recherches, mais maintenant que j’avais pris ma décision, les choses ne devaient pas être aussi simples que cela. Mon mari m’a accordé à contre-coeur l’autorisation verbale de me faire baptiser, mais il ne voulait pas signer les papiers nécessaires pour cela. Ce furent des jours remplis d’anxiété, car j’étais soucieuse que nos enfants soient élevés dans une église morale, fondée sur la doctrine; et je savais maintenant, tel que Joseph Smith l’a fait, que Dieu le Père et Jésus-Christ ont restauré la vraie église sur terre. J’ai prié et lu les Doctrine et Alliances et la Perle de Grand Prix; et un jour mon mari m’a soudain dit qu’il signerait le formulaire de baptême!

Baptême dans l’église de Jésus-Christ

Je suis enfin entrée dans les eaux du baptême le 12 août 1962, avec Harold Stevenson qui a accompli l’ordonnance. Aucun membre de ma famille n’était présente, mais Maxine Nickel, qui est depuis devenue une amie très chère, m’a encouragé et soutenu dans les coulisses, et une salle remplie de saints est venu me souhaiter la bienvenue parmi eux. Je suis sortie des eaux du baptême me sentant si brillante et propre, vraiment comme une nouvelle personne. Puis Elder Lonny Adams, qui m’avait aidé à comprendre que je devais prendre la croix du Sauveur et Le suivre sans me soucier du reste, m’a confirmé avec le don précieux du Saint-Esprit. Je suis rentrée chez moi déterminée à vivre à la hauteur des engagements que je venais de faire. Un sentiment de paix et d’amour pour le Sauveur a rempli mon âme.

Mon mari a continué d’aller à l’église chrétienne avec les enfants pendant un certain temps jusqu’à ce qu’il rencontre un pasteur d’une autre église qui l’a persuadé d’assister au culte là-bas. Cette église n’avait aucune affiliation avec le CCN ni le COE, contre lesquels mon mari et moi avions combattu ensemble. Mon mari s’est rapproché  du Seigneur, a appris les Écritures et, en définitive, certains des enseignements SDJ ne semblaient pas si éloignés ou différents de lui.

Marc 11:24 a été une sorte de guide pour moi : “Tout  ce que vous demanderez en priant, croyez que vous l’avez reçu, et vous le verrez s’accomplir”. Tandis que je le priais et que j’observais les progrès de ma famille, j’ai su que j’avais pris la bonne décision, même si le chemin a souvent été difficile. Notre première fille, Cindy, m’a accompagné à l’église un dimanche pour voir où sa mère allait adorer et elle a tellement aimé son expérience là-bas qu’elle a demandé de se faire baptisée en 1963. Ensuite, Randy est venu visiter l’église. Auparavant, il avait traîné les pieds à aller à l’école du dimanche, puisqu’il disait qu’il n’y avait rien appris, mais il aimait les mormons et bientôt, lui aussi, a voulu se faire baptiser. Mon mari a assisté à son service de baptême en 1964, comme il l’avait fait pour Cindy un an plus tôt, mais il a estimé que les deux autres enfants devraient rester avec lui à l’église baptiste. Aucun d’entre nous n’aimait ce genre de séparation, le dimanche, mais un jour cela allait changer.

Mon père est mort de façon très inattendue en mai 1968 (Comme j’étais reconnaissante pour le principe du baptême pour les morts!). Il avait voyagé en Suisse et en Allemagne et a compilé une grande partie de sa généalogie avant que je devienne SDJ. Montrant une grande sympathie pour moi dans ma perte, mon mari a accordé à notre plus jeune enfant Nora la permission de se joindre à l’Eglise SDJ peu de temps après, Nora qui avait rendu visite à la paroisse avec nous à plusieurs reprises et qui avait demandé à être baptisée. C’était le Jour du drapeau, 1968, lorsque son frère Randy l’a baptisée. Notre fils aîné Scott avait décidé de réfuter le Livre de Mormon, mais au lieu de cela, il s’est converti après l’avoir lu lorsqu’il était jeune homme à l’Université du Tennessee en 1970. Les garçons ont servi des missions en Allemagne et leur père les a soutenu financièrement, ainsi que par des lettres, des paquets et par son grand amour pour eux.

Si le Seigneur a essayé de m’enseigner une leçon, il semblerait qu’il veuille me faire développer tous les fruits de l’Esprit à un degré plus élevé. La patience est l’un d’eux. Je sais que les miracles d’aujourd’hui n’ont pas cessé de se produire, je sais que le Seigneur désire que mon cher mari soit également dans son royaume. Pour qu’une si grande bénédiction s’accomplisse que je peux attendre avec patience.

Après mon baptême, des amis bien intentionnés et ma parenté m’ont inondée de littérature anti-mormone. J’ai décidé de la lire et de trouver des réponses à leurs accusations. Ce processus fait réellement passer la foi à travers le feu, mais je savais que cet évangile était vrai et je ne pouvais donc faire face à ses détracteurs. Le Seigneur m’a donné des réponses de manières très étonnantes. Rien de ce que j’ai lu n’a été une menace à mon profond témoignage. Je me suis senti désolée pour ceux qui combattent contre Sion, au lieu de chercher à connaître la vérité. Je me suis souvenu de mes longues années sans l’Évangile, lorsque la lutte semblait souvent inutile, et je continue de me réjouir dans les bénédictions que le Seigneur me donne.

« Car c’est après beaucoup de tribulations que viennent les bénédictions » (D & A 58:4).

 

Ressource supplémentaires :

L’Eglise de Jésus-Christ a été rétablie, sur terre, dans sa plénitude. En savoir plus en visitant le site officiel de l’Eglise de Jésus-Christ des Saints des Derniers Jours (par inadvertance appelée l’ “Eglise mormone” par des amis d’autres confessions religieuses).

Source :

H. Rector & C. Rector, No More Strangers Vol. 3, (Salt Lake City, Utah: Deseret Book Company, 1971), 71-75.